Le contexte

le contexte

Les situations environnementales, législatives et normatives conduisent les professionnels à s’organiser

Un tournant législatif majeur

L’arrêté du 7 septembre 2009, modifié en mars 2012, ouvre pour la première fois officiellement la porte aux techniques compactes, plus généralement appelées « Micro-Stations » (MS).
Il positionne enfin ces filières dites « compactes » comme des solutions alternatives aux filières classiques telles que les filtres à sable ou les tranchées drainantes.

Compte tenu de l’historique réglementaire, il s’agit d’une véritable « révolution culturelle » qu’il est essentiel d’accompagner pour garantir à la fois son développement et sa pérennité.


Contexte

Une solution reconnue en Europe

En Europe, les filières compactes ont largement prouvé leur efficacité et leur fiabilité dans le temps.
Il est donc normal qu’elles soient intégrées au marché, non pas en tant qu’exception, mais comme une véritable solution, au même titre que les autres filières classiques.

En France, les micro-stations sont encore perçues comme des produits nouveaux, souvent peu ou mal connus. Les pouvoirs publics ont néanmoins pris des précautions en fixant des exigences techniques et environnementales pour ces produits, qui sont largement supérieures à celles des filières classiques.

Cela représente une garantie précieuse pour l’usager et l’environnement qu’il faut valoriser.


La nécessité d’une organisation professionnelle

L’évolution des réglementations européennes et nationales impose que la profession des fabricants et intervenants en micro-stations soit légitimement représentée à tous les niveaux.
Il est essentiel que le secteur s’organise autour d’un syndicat professionnel capable de défendre et promouvoir les intérêts de cette filière industrielle.

C’est dans cette optique que les fondateurs ont créé l’Association des Professionnels des Micro-Stations (APMS), devenue syndicat professionnel en 2012.

C’est aussi une invitation à tous les acteurs du secteur… à nous rejoindre !